Mission intrigue 3.1 : Transmettre la culture est le plus vieux métier du monde.

Transmettre la culture est le plus vieux métier du monde.

ODT 5 - Contexte - 30 mars 2021

Décidément c'est de plus en plus le bordel. Tous commencent à sentir l'épuisement de cette fuite effrénée dans ce complexe qui n'en finit pas de toujours les retenir en ses murs, à vouloir les faire rôtir. Comme si Dieu lui-même voulait les garder prisonniers. Jusqu'à présent le troupeau marche de concert, et nul ne semble résolu à en écraser volontairement d'autres pour survivre. L'Unique voudrait inculquer la solidarité à ses ouailles et ses détracteurs qu'il ne s'y prendrait pas autrement.
La porte de droite (1) donne sur un nouveau placard. Ils en ont tant que ça des balais et des serpillères à ranger?! L'appel d'air provoqué par l'ouverture de cette porte attise les flammes, certains nez raffinés pourraient sentir l'odeur de poils grillés (-1pv).
La porte de gauche (2) donne sur un couloir avec pas mal de flammes, celles-ci ayant chauffé sa poignée au point d'infliger une brûlure conséquente à la première personne l'ouvrant (-2pv). Pourtant il semble que ce soit la seule issue vers la sortie.
La porte en face (3) laisse la place sur un long couloir pour finalement mener aux toilettes. Le temps de rebrousser chemin la fumée attaque sévèrement les poumons, avant que les flammes s'approchent dangereusement (-1pv).

Après la porte 2, plusieurs affiches sont dévorées par les flammes qui laissent à peine la place de courir au milieu du couloir. Les brebis égarées ne doivent pas trainer, surtout qu'elles sont déterminées à s'en sortir par leurs propres moyens. Une légère accalmie permettra aux plus attentifs de voir une inscription sur l'un des murs : "Sortie par ici". Par contre aucune indication de laquelle des deux portes est la bonne : tout droit ou à droite?

Plan (clic)

Bilan ODT 5 :
Caraïbe de Rochebrune : -1pv (7/10)
Alexandre Durand : -1pv (7/10)
Natanaël Hawke : = (9/12)
Anthea Diamandis : -1pv (9/12)
Angélique Chavane : -2pv (6/10)
Louis Tessier : = (11/12)

Merci de tenir compte de cela dans votre fin de post Mission intrigue 3.1 : Transmettre la culture est le plus vieux métier du monde. - Page 2 4063167192

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Les règles

1. Nous vous demanderons, à la fin de chaque rp de poster le formulaire que nous avons mis, ci-dessous, à votre disposition

Code:: Récap des actions : écrire ici
Si j'ai tiré des dés, lien vers le résultat : <a href="METTRE LE LIEN ICI"> ici</a>
Bonus possédés : Ecrire ici
Bonus dépensés : Ecrire ici + préciser TDJ dans lequel il a été dépensé
Points de vie : restant / total (par exemple 7/12)

2. Cette mission pourra faire appel aux dés. (voir règles ici)
3. Nous attendons au moins une participation par Tour de Jeu (TDJ).
4. Pas d’ordre entre les joueurs. Vous devez laisser deux rps entre chacune de vos réponses… Et c’est tout. Vous pouvez répondre quand vous le désirez du coup, peu importe qui a répondu avant ou après vous. Par exemple ça peut être pour le premier TDJ : Charles, Midnight, Nailea, Donovan… Puis au second TDJ : Nail, Charles, Mid, Nail, Donovan, Charles.
5. Des rps courts pour favoriser une fluidité du jeu (Maximum 500 mots !)
6. Des missions courtes qui vont donc bouger très rapidement ! 7 tours au total, avec des tours durant entre 1 et 4 minutes InRP à peu près.
7. Un arrêt de la temporalité du forum. Il ne sera pas possible de poster après la date des missions car elles vont s’inscrire dans les intrigues et donc faire bouger les lignes !
8. VOUS êtes les acteurs des missions. La base est donnée mais il n’y a aucune ligne/fin de prévue. Nous nous adapterons selon ce qui sera fait, ou pas fait dans ces missions ! Tout est entre vos mains !
9. Vos / Votre personnage/s peut/peuvent être blessé/s faiblement
10. Prêtez bien attention aux indications du MJ et à l'environnement. Sachez qu'aucune info n'est mise là par hasard...
11. Votre MJ pour cette mission sera Maël, sous la supervision de Nailea. N'hésitez pas à vous tourner vers eux en cas de question !

Les incrits

@Caraïbe de Rochebrune
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@Alexandre Durand
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@"Natanaël Hawke"
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@Anthea Diamandis
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@Angélique Chavane
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@Louis Tessier

Transmettre la culture est le plus vieux métier du monde

Mission Commune

Cinéma près du Père Lachaise, Paris, 30 mars 2021

Maintenant que l’adrénaline reflue, au moins un tout petit peu, je me retrouve à ressentir un peu plus finement tout ce qui impacte mon corps, tout ce qui m’a touché et blessé depuis le début de cette histoire. Rien de grave ; je ne ressens aucune perte de motricité ou de dommages vraiment douloureux… Mais quand même. Je n’ai pas le temps de passer en revue tous mes bobos, petits ou plus grands, mais il semblerait tout de même que j’ai pas mal subi et pris sur le coin de la figure en quittant cette salle de cinéma bondée, en pleine panique. J’ai du sang sur moi, et pas mal d’endroits qui me font un peu mal. Rien de dramatique, mais il faudra penser à vérifier, une fois que nous serons sortis de ce capharnaüm, si je n’ai pas subi une commotion ou si l’ensemble de ces petites douleurs ne sont ps les symptômes de blessures plus embêtantes. Quoiqu’il en soit, je me sens éraflé, contusionné, d’un peu tous les côtés. J’ai aussi respiré pas mal de fumée et c’est un danger qui peut vite devenir assez important, notamment si on finit par tomber dans les pommes avec les poumons et donc le cerveau saturés de monoxyde de carbone.

Les filles, en tout cas, semblent avoir décidé de se montrer un peu moins agressives l’une envers l’autre. Peut être ne seront-elles jamais les meilleures amies du monde, mais au fond ce n’est pas très grave. Ce n’est pas ce que la situation exige d’elles, ni ce que moi je pourrais attendre. Je note toutefois dans un recoin de mon esprit que les problèmes peuvent commencer à partir de cette première étape d’une confusion travail/plaisir qui pourrait avoir des conséquences. Caraïbe ne doit pas savoir pour les déicides. Et Angélique, en tant que partenaire de l’organisation, n’a pas vraiment à en savoir plus sur ma vie privée. En cas de capture, nous pourrions alors nous retrouver en position de balancer des informations qui pourraient être utilisées contre l’autre. Nous avons tous, en tant que déicides, une conscience aiguë des tortures et manipulations de l’esprit ou de l’âme dont nous pourrions faire l’objet. Caraïbe et une inconnue ouvrent la porte et il y a encore plus de fumée qui se dégage, des affiches en flammes et une chaleur insoutenable. Je peste dans ma barbe mal rasée.

| Qui est le connard qui n’a pas vérifié que le système de signalisation des issues de secours fonctionne encore, putain ! |

Je me tourne vers les deux jeunes femmes.

| Allez, allez, on fonce ! |

Je me dis quand même que revenir tout droit après deux fois à droite… Ca nous ferait revenir dans le cœur du cinoche, non ? L’instinct me crie d’aller à droite, et c’est par là que je vais.

(c) DΛNDELION

Récap des actions : Alexandre ouvre la porte B
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Bonus possédés : Ecrire ici
Bonus dépensés : Ecrire ici + préciser TDJ dans lequel il a été dépensé
Points de vie : 7/10

Transmettre la culture est le plus vieux métier du monde

Allait-il les mener vers la mort ou vers la survie? Quelle que soit l’issue la conduite d’Alexandre ne cessait, même si elle ne le montrait point, d’éblouir et d’impressionner la demoiselle Caraïbe qui ne put qu’obéir à ses ordres et ce même, miracle divin !, sans prendre ombrage de sa façon de parler. Cependant, même si la rousse qu’Alex, familièrement, surnommait Angie, s’était proposée pour aider Caraïbe à marcher après sa chute cette dernière refusa d’un signe de tête continuant à cheminer seule, bien qu’un peu en retrait des autres. Ce refus elle l’eusse même apposé à Alexandre s’il avait eu le geste de la venir aider, pour ne point être gêne dans sa fuite.

Même si elle avait grand désir de ne point connaître la même mort que son jumeau et ses grands-parents, Caraïbe sentit qu’une sorte de grande paix intérieure s’était emparée d’elle. Elle avait la conviction qu’elle allait mourir dans ce cinéma et si l’idée, au début, l’avait paniquée, elle l’avait désormais acceptée.

Quand Alexandre lui ordonna, (encore !), d’ouvrir la porte en face d’elle, elle obtempéra sans réfléchir avec l’aide d’une quelconque quidam, désirant qu’il s’en sorte. C’est que notre Caraïbe avait bon cœur et parce qu’Alexandre lui inspirait de doux sentiments dont il devait sans doute tout ignorer lui-même, elle ne pensait plus désormais qu’à ce qu’il survive à cet incendie, qu’il puisse reprendre le cours de sa vie et accomplir ses rêves et pourquoi pas un jour se marier et devenir père, s’il en éprouvait le désir… La porte s’ouvrit sur un long couloir qu’elle emprunta le cœur battant, boitillant car sa cheville la faisait souffrir (et causerait sa mort) mais malheureusement il ne conduisait que vers les toilettes. Que de temps perdu !

-¡Ostia puta ! S’exclama Caraïbe avant de faire demi-tour, serrant les dents. La fumée s’insinuait, insidieuse, dans ses poumons, la jeune demoiselle ne songeant même plus à protéger ses voies aériennes. Elle toussait de plus en plus, main contre la bouche, avec l’impression que sa poitrine était en feu. Terrible agonie qu’avaient connu les membres de sa famille…

Alors qu’Alexandre décide de prendre à droite, Caraïbe s’arrête et réfléchit… Peut-être que s’ils se séparaient ils auraient plus de chance de trouver la sortie ? Si elle décidait de ne pas le suivre et de continuer tout droit… Elle pourrait toujours le prévenir avec son téléphone si c’était le chemin correct… Et si elle se trompait… Hé bien au moins il aurait trouvé la sortie. Sa pensée, elle ne la lui exposa point, certaine qu’il tenterait de l’en empêcher. De toute façon, boitillante comme elle était…elle les ralentirait… Elle le regarda, comme pour garder son image imprimer dans sa rétine et le laissant prendre à droite, le laissa s’éloigner, suivi par Angie qui s’était brûlée la main sans que cela n’apporte aucune joie à Caraïbe.

Dès qu’elle fut sûre que ni l’un ni l’autre ne pouvait la voir elle prit le chemin droit devant, accélérant le pas autant que possible.

:copyright: Chieuze

Il fait trop chaud. L’air est irrespirable. Contrairement à mes frères, mon environnement impacte considérablement mes forces, tant physiques que mentales. Si le temps est au beau fixe durant de longues semaines, ou si je suis dans un lieu extrêmement aride - où l’Orage ou la Pluie sont des manifestations inexistantes -, je suis affaibli ou démoralisé. Aujourd’hui, et plus particulièrement ce soir, ce cinéma me mettait sérieusement à l’épreuve. Certes je suis toujours en France, un pays aux mille et une saison tout au long de l’année, mais dans les faits, je suis entouré de flammes dans un lieu clos. Encore.

Qu’est-ce-qui se gâte ? Mon humeur, il semblerait. L’envie de cogner ces deux divinités, dont l’un qui a clairement indiqué son allégeance au Panthéon Monothéiste, est de plus en plus violente et impérieuse. Ma seule barrière est cet ensemble d’os, chair et muscle que j’appelle « épouse ». J’aurais bien voulu la confier à Alex, mais il semble avoir déjà les mains pleines avec ses deux dames. Je ravale donc ma colère, et tente d’ignorer ces pulsions de violences, me concentrant sur le chemin.

Je me décide à suivre le blond, soit emprunter la porte devant moi. Je n’étais pas pressé pour ma propre survie - je me portais encore assez bien - mais plutôt pour celle de Juliette. Chaque minute passée, son cœur adopte un rythme moins régulier et plus lent. Je ne suis pas médecin, mais je suis quasiment sûr que ce n’est pas très bon signe. Il faut accélérer le pas, davantage. Qu’avons-nous fait, jusqu’à maintenant, en terme de chemin ? Droit, Droite, Gauche. Tentons le chemin inverse, alors ! Et je choisis donc la porte à ma droite.

Je me rappelle bien des fiches, et des films, mais je suis pour le moment incapable de faire la moindre connexion logique. Le temps me manque et, surtout, j’en savais foutrement rien des symboliques du Panthéon Monothéiste. Que suis-je censé comprendre dans l’agencement de ce cinéma, ou des sous-entendus d’une série au nom de Lucifer, d’un film religieux ou d’une comédie française ? Décidément, toutes ces choses me dépassaient aujourd’hui. Par contre, je me promets que l’Unique va tâter de la légende celte, dans les semaines à venir.

Dans cette enveloppe, ou dans une autre.

***

Récap des actions : POrte A, les copains
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Bonus possédés :

- Coup monté : vous conjuguez votre pouvoir avec celui d'un allié. Si la réussite est automatique, lancez trois dés quand même. Si le cumul des trois dés dépasse 200, la puissance de vos deux pouvoirs cumulés est doublée.

- Coup de fil : du renfort débarque pour vous aider. Tirez un dé. Entre 1 et 50, un pnj humain vous aide. Entre 51 et 90, c'est une créature qui débarque. Entre 90 et 100, c'est un divin qui vous file un coup de main.

- Coup sur la tête : Vous devenez impétueux (à justifier en rp). Les dégâts d'attaque que vous infligez sont doublés pendant deux réponses. Attention, pendant 2 tours, vous attaquerez obligatoirement, sans autre action.

- Deux relances achetées

Bonus dépensés : Ecrire ici + préciser TDJ dans lequel il a été dépensé
Points de vie : 11/12

Transmettre la culture est le plus vieux métier du monde.

des gens

J'avais beau paraître calme, la réalité n'était pas aussi évidente. Coincé avec un dieu d'un panthéon inconnu, trois gosses qui se disputaient et Anthea qui avait de plus en plus de mal à respirer, je le sentais vraiment mal. Le cinéma était en feu et on ne savait même pas où on allait vraiment, on ouvrait les portes les unes après les autres sans trop de réussite. Je ne sais pas qui a bâti ce cinéma, mais on n'ira pas le remercier pour ça. Mais plus les minutes passaient, plus je voyais que mon amie allait mal et ça n'arrangeait en rien la situation actuelle. Je me désintéresse de tout le reste, de cette possibilité de foutre encore plus le bordel entre les jeunes, de ces affiches de films, des films qu'on entendait à chaque fois qu'on avait le malheur d'ouvrir la mauvaise porte. Mais un cri retenti et je comprends à peine ce qui se passe dans un premier temps avant de voir l'une des filles avec l'intérieur de la main rouge, comme si elle était brûlée. Et les portes s'ouvrent toutes et je pousse Anthea à suivre le mouvement, dans l'espoir d'avoir un peu d'air avant que la fumée nous rattrape. Mais un autre choix s'offre à nous et ça commençait à me prendre la tête. Bordel de merde. Mais la tension commençait juste à devenir de plus en plus ingérable, entre l'incendie et ce dieu inconnu et... Une seconde. " Hey, j'crois qu'on a perdu quelqu'un." Je regarde derrière moi et ne vois rien à part de la fumée. " Elle est où la donzelle qui gueulait en espagnol ?" Pas que ça me pose un réel problème de savoir où elle se trouve, mais tout de même, ça restait une ouaille de Dieu. Je soupire et regarde mon amie. " Il faut que je te sorte d'ici." Tant pis pour l'autre donzelle, mais elle n'était pas ma priorité du moment. Puis j'entends des bruits provenant des étages et ça ne me dit franchement rien qui vaille.

copyright Bloody Storm

Récap des actions : Il continue d'avancer avec le groupe, suivant Alexandre jusqu'à ce qu'il remarque qu'il manquait quelqu'un. Il en fait part aux autres, mais il se rend aussi compte qu'il y avait des bruits étranges provenant des murs et des étages.
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Bonus possédés : /
Bonus dépensés : /
Points de vie : 09/12

Si l’air ne me manquait pas, un chapelet de jurons serait probablement sorti de ma bouche lorsque la porte contre laquelle je m’étais butée avait cédé la place à des toilettes qui n’avaient rien d’une échappatoire. Une pensée, complètement absurde étant donnée la situation, vint supplanter les bouffées de panique qui montaient en moins : pourquoi diable y avait-il autant de toilettes et autant de placards dans les issues de secours de ce cinéma ? Quel était l’intérêt ? Dans un bref instant de lucidité, je convins que ça n’avait pas la moindre importance et qu’il y avait des matières plus urgentes qui requerraient mon attention immédiate – comme le fait de sortir d’ici au plus vite – mais tout de même, c’était curieux. Non ?

L’esprit toujours embrumé par les fumées toxiques qui emplissait mes poumons, mais pas assez dans les vappes pour ne pas remarquer les flammes qui se rapprochaient dangereusement, je m’accrochai désespérément à Nate pour avancer dans le couloir aux affiches rongées par l’incendie, talonnée par d’autres spectateurs dont certains, face à la fournaise, eurent un mouvement de recul instinctif. Je ne pouvais guère les blâmer ; Il faisait une chaleur infernale dans le couloir, au point que je me demandai sérieusement ce qui allait me tuer d’abord : le manque d’oxygène ou le choc thermique. Malgré tout, malgré le danger, c’était la seule issue qui s’offrait à nous, voilà pourquoi je m’y engouffrai à la suite de mon ami, que je suivis par la première porte qui fut ouverte par la suite (A).

Je n’avais pas vraiment regardé qui nous suivions, ni où nous les suivions. Je me contentai d’avancer vers ce que j’espérais être la sortie et non pas une mort certaine, ne faisant que très peu attention à mon environnement en dehors des flammes qui crépitaient autour de nous. La remarque qu’il manquait désormais quelqu’un dans notre groupe de tête, quelqu’un dont je me rappelais vaguement avoir aperçue maintenant que Nate en parlait, me fit me demander si nous en avions laissé d’autres derrière nous. C’était inévitable, et je ne pouvais pas m’empêcher d’en être peinée… Malheureusement pour les autres, en ce qui me concernait, seules deux personnes comptaient en cet instant : mon ami et moi-même. Malgré tout, j’essayai d’apporter un élément de réponse à ceux qui seraient tentés de rebrousser chemin :

« Il y avait deux portes, elle a peut-être voulu prendre l’autre route pour voir où elle menait ? Vous avez de quoi la contacter ? » Fis-je le souffle court.

S’ils voulaient se lancer à sa rechercher, je n’allais pas les retenir. De mon côté, j’attendais surtout de savoir si nous avions pris la bonne porte. Ou si l’autre femme avait pris la bonne porte.

Récap des actions : Anthea suit toujours le mouvement du groupe de tête et passe par la porte A.
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Bonus dépensés : Ecrire ici + préciser TDJ dans lequel il a été dépensé
Points de vie : 9/12

ft. Mission
Commune

Transmettre la culture est le plus vieux métier du monde

Tu es de plus en plus mal. La fumée t’empêche de respirer correctement, sans compter la douleur qui fuse dans tes poumons. Mais tu n’as pas d’autre choix que de continuer. Alexandre te demande d’ouvrir la porte 2, ce que tu fais évidemment sans broncher. Peut-être aurais-tu dû faire plus attention… Une fois la main posée sur la poignée que tu tiens fermement, une horrible brûlure te lacère la paume. Tu pousses un cri de douleur en agitant ta main comme si ce geste allait finalement la soigner par magie. Tu jettes un coup d’œil à celle-ci et elle se trouve être brûlée. Génial… Mais au mois la porte est ouverte et il semble que ce soit la seule sortie, malgré les flammes qui lèchent le couloir. Tu es en enfer. Il n’y a pas d’autre explication… Tu mets ta tête en sourdine et vous reprenez la route en courant. Tu te fiche bien d’être en Enfer ou d’être dans un piteux état. Tout ce que tu souhaites, c’est sortir d’ici. Point. Vous vous retrouvez face à deux portes. Encore et encore. C’est interminable. Tu jettes un regard à ton ami et réfléchi un instant. Si vous prenez tous la même porte, peut être serez vous donc tous piéger ? Que faire ? Alexandre prend finalement la porte b et plusieurs le suivent. Quant à toi, tu remarques rapidement que Cara est partie prendre l’autre porte. Et merde ! Tu regardes les deux sorties uns instants et finalement, tu te décides. Elle ne peut pas y aller seule. Impossible. Tu retrousses chemin et prends la porte A en courant, espérant retrouver la jeune femme.

Récap des actions : Angélique suit Alexandre. Elle ouvre la porte 2 qui lui brûle l’intérieur de la main. Cependant il se trouve que ce soit la seule sortie. Ils arrivent devant 2 portes. A où B. Elle hésite un petit moment. Alex prend la B et Cara la A. Angie décide de ne pas laisser la jeune femme seule et finalement elle la suit.
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Points de vie : 6/10

Transmettre la culture est le plus vieux métier du monde.

ODT 6 - Contexte - 30 mars 2021

La fatigue commence à se faire sentir après ces épreuves. Tous sont marqués par les conséquences de leurs différents choix. Le troupeau voit plusieurs dynamiques avec ceux qui décident et ceux qui suivent, ceux qui restent cordiaux et ceux que le stress fait craquer. C'est dans les pires situations que l'on voit ressortir le meilleur des individus, ou pas.

La porte (A) conduit à un escalier de secours. Enfin de l'air ! Ceux qui sont passés par cette issue dévalent les marches quatre à quatre avec un soulagement de courte durée. En effet deux étages plus bas l'escalier est condamné, ce qui vous oblige à rebrousser chemin. L'air frais vous a donner un peu de répit mais le retour n'est pas facile après toutes ces épreuves. Quand vous revenez enfin à votre point de départ, le couloir est envahi par une fumée aveuglante qui va bientôt rejoindre la porte (B). (-1pv)

La porte (B) donne sur un escalier intérieur qui vous permet de descendre quatre étages. La fumée vous accompagne et réduit considérablement votre visibilité. Certains pourtant peuvent apercevoir les affiches du film Jesus Christ Superstar entre deux marches. Jusqu'à débarquer face à un nouveau choix. Pour un peu, les brebis pourraient se croire mises à l'épreuve.
Une porte sur votre gauche (1), ou continuer à descendre l'escalier (2)?

Plan (clic)

Bilan ODT 6 :
Caraïbe de Rochebrune : -1pv (7/10)
Alexandre Durand : = (7/10)
Natanaël Hawke : -1pv (8/12)
Anthea Diamandis : -1pv (8/12)
Angélique Chavane : -1pv (5/10)
Louis Tessier : -1pv (10/12)

Merci de tenir compte de cela dans votre fin de post.
ET aussi clairement la porte empruntée svp, le modo n'a que deux neurones, merci pour lui Mission intrigue 3.1 : Transmettre la culture est le plus vieux métier du monde. - Page 2 157564367

Mission intrigue 3.1 : Transmettre la culture est le plus vieux métier du monde. - Page 2 157564367

Les règles

1. Nous vous demanderons, à la fin de chaque rp de poster le formulaire que nous avons mis, ci-dessous, à votre disposition

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Points de vie : restant / total (par exemple 7/12)

2. Cette mission pourra faire appel aux dés. (voir règles ici)
3. Nous attendons au moins une participation par Tour de Jeu (TDJ).
4. Pas d’ordre entre les joueurs. Vous devez laisser deux rps entre chacune de vos réponses… Et c’est tout. Vous pouvez répondre quand vous le désirez du coup, peu importe qui a répondu avant ou après vous. Par exemple ça peut être pour le premier TDJ : Charles, Midnight, Nailea, Donovan… Puis au second TDJ : Nail, Charles, Mid, Nail, Donovan, Charles.
5. Des rps courts pour favoriser une fluidité du jeu (Maximum 500 mots !)
6. Des missions courtes qui vont donc bouger très rapidement ! 7 tours au total, avec des tours durant entre 1 et 4 minutes InRP à peu près.
7. Un arrêt de la temporalité du forum. Il ne sera pas possible de poster après la date des missions car elles vont s’inscrire dans les intrigues et donc faire bouger les lignes !
8. VOUS êtes les acteurs des missions. La base est donnée mais il n’y a aucune ligne/fin de prévue. Nous nous adapterons selon ce qui sera fait, ou pas fait dans ces missions ! Tout est entre vos mains !
9. Vos / Votre personnage/s peut/peuvent être blessé/s faiblement
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Les incrits

@Caraïbe de Rochebrune
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@Alexandre Durand
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@"Natanaël Hawke"
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@Anthea Diamandis
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@Angélique Chavane
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@Louis Tessier

Transmettre la culture est le plus vieux métier du monde

Mission Commune

Cinéma près du Père Lachaise, Paris, 30 mars 2021

Difficile de se rendre compte concrètement du temps qu’il nous reste et de ce que nous pouvons encore faire pour améliorer la situation. Dans tous les cas, il s’agit de quelque chose qui vire à l’enfer, un incendie. Au sens littéral, car les flammes et la fumée donnent l’avant-goût d’une mort aussi affreuse que pas si rapide… Et en plus, il faut gérer une querelle dont je ne comprends pas si bien les tenants et les aboutissants, avec Angélique et Caraïbe. Cara qui joue les jalouses, et Angélique qui se défend becs et ongles. Ca semble être un sacré shaker cette histoire… Nous suffoquons. Il n’y a rien, pas même l’expédient de Cara, qui nous permette vraiment de gagner du temps. On continue de progresser. Mais je sais, je sens, que plus les secondes passent et plus nos chances s’amenuisent. Nous toussons, nous éructons à moitié. L’espoir s’en va. Et pourtant, nous continuons.

Je sourirais presque, quand j’entends le juron poussé par Cara en espagnol. Incorrigible. C’est amusant de voir qu’elle est nature dans absolument tous les aspects de son existence… Absolument tous. Nous continuons à avancer. Il y a toujours l’envie de s’en sortir, l’espoir de s’en tirer. Il diminue évidemment, mais il est toujours là. La fumée qui irrite les yeux et les poumons joue clairement le rôle de la destinée qui vient de toute évidence nous foutre en l’air. On n’y voit rien. Et dans ce genre de circonstance, on joue clairement plus le coup à l’instinct qu’à la raison pure et dure.

Ca ne change rien. On progresse.

Jusqu’à ce qu’on des types suspects ne lâche derrière moi, sous l’épais manteau gris, qu’on a perdu quelqu’un. Et mon cœur se comprime quand il parle de « donzelle qui parle en Espagnol. Je me retourne, alors que l’autre louche demande si on a moyen de la contacter. Ils sont marrants, eux, on capte toujours mal dans les cinoches et en plus, avec la fumée, les flammes, les sprinklers, comment vous voulez y voir quelque chose !

| Ah mais putain de dieu, elles le font exprès ?! |

Je regarde en arrière. Angélique et Cara sont toujours pas là.

| Continuez, laissez la bonne porte bloquée sur votre passage au prochain embranchement, qu’on puisse vous suivre ! |

Je tousse en m’arrachant à moitié les poumons, en jurant et en retournant en arrière en criant, toussant encore et encore.

| Oh ! Cara ! Angie ! Arrêtez de faire n’imp, on tient le bon bout ! Remontez ! |

Je commence à remonter les escaliers… En me disant qu’en fait, peut être que l’une en a profité pour pousser l’autre.

Chienne de vie.

(c) DΛNDELION

Récap des actions : Alexandre a pris la mauvaise direction du coup, mais il est vite reparti vers la bonne pour appeler Angie et Cara qu’il soupçonne secrètement d’avoir commis l’une ou l’autre un meurtre.
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Bonus possédés : Ecrire ici
Bonus dépensés : Ecrire ici + préciser TDJ dans lequel il a été dépensé
Points de vie : 6/10

Le jeune homme choisit, sans grande surprise, de faire demi-tour pour aller chercher ses camarades et je le regardai s’éloigner d’un œil neutre. À sa place, j’aurais probablement fait la même chose. Mais je n’étais pas à sa place et, de notre côté, nous n’avions guère d’autre choix que de continuer à avancer : la fumée s’amoncelait derrière nous, s’accumulant sous nos pas et j’étais fermement décidée à ne pas rôtir ici. Je pris la main de Nate et l’entraînai avec moi. La porte que nous empruntâmes menait à un escalier de secours, à de l’air frais. À un sentiment de s’en être finalement sorti. Presque trop beau pour être vrai.

Nous nous précipitâmes en bas de l’escalier, avalant les marches les unes après les autres pour sortir de l’enfer dans lequel on nous avait jeté. Malheureusement, notre joie devait être de courte durée ; Une salve de marches plus loin, l’escalier était condamné et nous étions coincés. Prudemment, je me penchai par-dessus la rambarde, avec le vain espoir que nous soyons suffisamment proches du sol pour pouvoir sauter. Là encore, en vain. Evidemment, ça aurait été beaucoup trop simple. Un soupir s’insinua d’entre mes lèvres.

“ On n’a pas le choix, il faut qu’on fasse demi-tour. ” Fis-je à l’attention de mon ami.

De préférence, avant d’être rattrapés par les flammes.

Nous rebroussâmes chemin et l’air frais, qui avait un peu dissipé la migraine qui me vrillait les tempes, laissa rapidement place à la fumée âcre qui m’arracha une nouvelle quinte de toux. De retour au point de départ, un seul choix s’offrait à nous. Aussi je poussai la porte pour me retrouver devant un nouvel escalier qui plongeait vers les profondeurs du cinéma. Tant bien que mal - plutôt mal, à dire vrai, vu que je commençai à ressentir les effets d’une possible intoxication - je dévalai les escaliers, apercevant au passage des affiches de film. Une affiche, particulièrement connotée, qui me fit froncer doucement les sourcils. J’avais, sans trop savoir pourquoi, une impression de déjà-vu que je balayai mentalement. Arrivés en bas, nous fûmes confrontés à un nouveau choix.

Là encore, rien n’indiquait quelle sortie était la bonne. Je me tournai vers Nate.

“ Je vais continuer à descendre pour voir ce qu’il y a en bas, soufflai-je. Avec un peu de chance, ça nous rapprochera du rez-de-chaussée et de la sortie. ”

Je ne savais pas si nous séparer était une bonne stratégie. Je le laissai faire ce choix et continuai à descendre l’escalier (2).

Récap des actions : Anthea fait demi-tour et remonte l'escalier de secours après avoir vérifié s'ils pouvaient sauter. Elle emprunte la porte B et descend l'escalier. Là, elle aperçoit le poster et elle a l'impression d'en avoir vu d'autres sur le chemin, sans être sûre. Elle continue d'avancer. Arrivée devant un choix, elle décide de continuer à descendre l'escalier (2) et laisse Nate prendre la décision de la suivre ou non.
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des gens

Notre groupe avait drastiquement réduit. Génial, mais concrètement, je m'en moquais un peu. Lorsque le dernier humain conscient de notre groupe partit à la recherche des deux jeunes femmes, je le laisse partir sans chercher à le raisonner. Dans un sens, il avait raison, il fallait quand même qu'on continue à avancer. Il ne restait plus que nous trois, Anthéa et moi et ce dieu inconnu, mais qui commençait quelque peu à me taper sur les nerfs. Mais ce n'était pas le moment de se foutre sur la gueule, de toute façon, je n'étais pas bon à ce jeu. Je laisse les autres le faire et moi, j'admire le spectacle et j'attise la haine, c'est bien plus simple. Seulement, devant l'urgence du problème, je préfère me concentrer sur ce qui est réellement important : ma survie et celle d'Anthéa. Mais est-ce qu'on pouvait laisser les autres derrière pour autant ? Oui bien sûr que oui, on pouvait. Et c'est ce qu'on allait faire, tout en laissant des indications sur le chemin à prendre, si tant est qu'ils aient une chance de pouvoir revenir vers nous. Je suis un démon, mais je ne suis pas si cruel. Pas en sachant que Dieu gardait un œil sur moi en ce moment. Je suis donc, la divinité grecque et on dévale les escaliers rapidement, savourant ces bouffées d'air qui n'étaient pas encore intoxiquées. Cela semblait lui faire du bien et elle avait l'air de se sentir un peu mieux. Pour combien de temps ? Bien que nous soyons divins, nos corps restent exposés et fragiles. Seulement, c'est un cul-de-sac. Je grogne légèrement et maudis sincèrement celui qui a construit ce bâtiment avant de remonter les marches et de trouver un autre chemin. Seulement, elle tousse de nouveau et je lui jette un rapide coup d'œil, un peu inquiet mine de rien. L'autre porte une fois poussée révélait un autre escalier. Elle propose de partir la première et je hoche légèrement la tête. " Commence à descendre, je te rejoins tout de suite, le temps de trouver un truc pour caler la porte." Qu'on ne vienne pas me dire que je n'aurais pas fait d'effort cette fois. Trouvant une poubelle et n'ayant rien de mieux sous la main, je fais signe à l'autre divinité de commencer à descendre, vu que c'était visiblement le seul chemin viable, à moins qu'il ne voulait attendre les autres, mais ça pouvait s'avérer compliqué. Je cale la porte avec l'objet et commence à dévaler les escaliers, espérant que mon amie ne se soit pas évanouie quelque part ou soit en proie aux flammes. Je détestais cet endroit et il est certain que je ne mettrais plus les pieds dans un cinéma avant plusieurs siècles.

copyright Bloody Storm

Récap des actions : Il suit Anthéa mais le premier chemin choisit est une impasse, ils remontent donc ensemble et il la laisse prendre un peu d'avance, afin de coincé la porte avec une poubelle pour laisser un indice aux trois autres s'ils arrivent à revenir. Il laisse également Louis passer devant lui.
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ft. Mission
Commune

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Bien. Maintenant, que ton choix est fait, il faut retrouver Caraïbes qui semble être plus rapide que toi, visiblement. Tu commences sérieusement à fatiguer. Ta respiration est sifflante et douloureuse. Tu as des bleus par-ci par-là et ta main brûlée n'arrange absolument rien à tout ça. Tu grimaces, mais continues ta descente aux Enfer. Aussi surprenant que ça puisse paraître, tu respires mieux. Ce serait donc la sortie ?! Tu continues de dévaler les marches et tu tombes enfin sur une silhouette. Cara'. Hé bien. Tu t'approches avec prudence et ta voix cassée retentie dans l'escalier :

- Tu es là, enfin. Bordel... Tu es une rapide. Je crois avoir entendu Alex' jurer... J'espère pour nous que c'est la sortie.

Tu souris et tentes un peu de détendre l'atmosphère. Tu marches à ses côtés et en silence, vous arrivez enfin au dernier étage. Il est bouché. Merde. L'air, t'as fait du bien, certes, mais il faut maintenant remonter. C'est une blague. Autant se dépêcher... La fumée doit être de plus en plus épaisse à l'heure qu'il est. Il vous sera impossible de respirer si ça continue. Tu fais demi-tour en prenant ton arme dans ta main valide et tu regardes autour de toi, prête en cas de danger.

- Alors dis moi. On ne s'est même pas présenté, il me semble. Je me doute que c'est actuellement le dernier de tes soucis et que visiblement, tu ne m'apprécies pas, pour je ne sais quelle raison d'ailleurs, mais vu qu'on doit remonter ces étages ensemble, je me suis dit qu'on pourrait discuter ? C'est peut-être le dernier moment qu'on va vivre. Autant qu'il soit un minimum ...Sympathique.

Tu lui adresses un sourire, de nouveau et regardes droit devant toi. Tu ne distingues rien. Pratiquement rien du moins. Tu te mets à tousser et la douleur aux poumons t'arrache un gémissement. Merde. Tu ne te sens pas du tout en forme. Et c'est de pire en pire. La tête te tourne et tu poses ta main sur le mur pour t'aider à grimper les marches.

- Je commence. Moi c'est angélique. Je suis une amie d'Alexandre. On prend des cours d'auto défense ensemble de temps à autre.

Tu ricanes dans ta barbe. C'est ridicule. Mais tu as besoin de te changer les idées. Surtout si vous devez tous mourir aujourd'hui. Une fois remonter, vous tomber sur un Alexandre pas content. Du tout même. Tu lui tapotes l'épaule, la respiration saccadé et sifflante puis vous vous mettez donc à prendre la porte B qui vous mène à un nouveau choix de porte. Bordel de merde. Tu soupires, épuisée. Il semble que la seconde porte soit ouverte et mène vers un escalier. Encore. Tu prends les devants et descends à ton tour.

- Bienvenue en Enfer...

Récap des actions : Angélique retrouve Caraïbes plus bas. L'air y est plus respirable, mais c'est finalement un cul-de-sac. Il faut remonter. Elle se sent de plus en plus faible, mais décide de faire tout de même la discussion. Une fois en haut, elles retrouvent Alex qui n'est pas content. Ils reprennent ensemble l'autre porte et tombe ensuite sur un nouveau choix. Angie se rend compte que la 2e porte est ouverte et mène à un escalier. Elle prend les devants et s'y aventure.
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ODT 7 - Contexte - 30 mars 2021

Après une panique chauffant les esprits tout comme l'incendie, les épreuves semblent pousser les uns et l'autres à s'aider. Peut-être que le Berger a guidé le troupeau pour qu'il s'élève dans l'adversité. Si les signes ont été aperçus, aucun n'a compris qu'il aurait pu en tirer parti. Avec un peu de conviction, peut-être qu'Il aurait pu leur donner des indications pour une sortie plus rapide...

Ceux qui ont emprunté la porte (1) découvrent un sas enflammé. Pourtant ils n'ont d'autres choix que de le traverser en courant. La porte coupe-feu au bout s'ouvre sur un escalier de secours qui cette fois vous permet d'atteindre le rez-de-chaussée et les secours. D'aucun pourrait affirmer que toutes ces épreuves n'avaient que pour but unique de permettre au troupeau de se rendre compte que la vie est un cadeau.
(Vous pouvez indiquer dans votre post que vous êtes dehors)

Quant à ceux qui ont poursuivi dans l'escalier (2), eux se trouvent dans un couloir qui mène à une nouvelle porte marquée : "VIP". Vous entendez derrière les sirènes des secours qui vous sont encore inaccessibles. Ne perdez pas espoir, vous pourrez bientôt sortir. Certaines brebis égarées ont parfois besoin de davantage d'épreuves avant de trouver la bonne voie.
(Vous ne pouvez pas indiquer dans votre post que vous êtes dehors, votre personnage trouvera la sortie lors de la conclusion de la mission).

Plan (clic)

Bilan ODT 6 :
Caraïbe de Rochebrune : (7/10)
Alexandre Durand : (7/10)
Natanaël Hawke : (8/12)
Anthea Diamandis : (8/12)
Angélique Chavane : (5/10)
Louis Tessier : (10/12)

Merci de tenir compte de cela dans votre fin de post.

Les règles

1. Nous vous demanderons, à la fin de chaque rp de poster le formulaire que nous avons mis, ci-dessous, à votre disposition

Code:: Récap des actions : écrire ici
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2. Cette mission pourra faire appel aux dés. (voir règles ici)
3. Nous attendons au moins une participation par Tour de Jeu (TDJ).
4. Pas d’ordre entre les joueurs. Vous devez laisser deux rps entre chacune de vos réponses… Et c’est tout. Vous pouvez répondre quand vous le désirez du coup, peu importe qui a répondu avant ou après vous. Par exemple ça peut être pour le premier TDJ : Charles, Midnight, Nailea, Donovan… Puis au second TDJ : Nail, Charles, Mid, Nail, Donovan, Charles.
5. Des rps courts pour favoriser une fluidité du jeu (Maximum 500 mots !)
6. Des missions courtes qui vont donc bouger très rapidement ! 7 tours au total, avec des tours durant entre 1 et 4 minutes InRP à peu près.
7. Un arrêt de la temporalité du forum. Il ne sera pas possible de poster après la date des missions car elles vont s’inscrire dans les intrigues et donc faire bouger les lignes !
8. VOUS êtes les acteurs des missions. La base est donnée mais il n’y a aucune ligne/fin de prévue. Nous nous adapterons selon ce qui sera fait, ou pas fait dans ces missions ! Tout est entre vos mains !
9. Vos / Votre personnage/s peut/peuvent être blessé/s faiblement
10. Prêtez bien attention aux indications du MJ et à l'environnement. Sachez qu'aucune info n'est mise là par hasard...
11. Votre MJ pour cette mission sera Maël, sous la supervision de Nailea. N'hésitez pas à vous tourner vers eux en cas de question !

Les incrits

@Caraïbe de Rochebrune
Mission intrigue 3.1 : Transmettre la culture est le plus vieux métier du monde. - Page 2 1825937684

@Alexandre Durand
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@"Natanaël Hawke"
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@Anthea Diamandis
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@Angélique Chavane
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@Louis Tessier

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Mission Commune

Cinéma près du Père Lachaise, Paris, 30 mars 2021

Je ne me perds pas malgré la pénombre déchirée par les néons des issues de secours qui clignotent. Je tousse de plus en plus. Raclements rauques. Les yeux qui piquent et qui pleurent. J’entends des voix autour de moi dans la fumée. En remontant, j’ai l’impression qu’il y en a qui redescendent. Ca se bouscule à nouveau. Dans tout ça, il y a ceux qu’on connaît. Et ceux qu’on ne connaît pas. On tente de survivre comme on peut. Dans ce genre de circonstances, il ne reste jamais que la plus pure des entraides qui recouvre le doute. C’est en repassant en haut que je croise d’autres gens qui se sont trompés, comme moi. Ceux sur qui mes doutent se portaient, un peu plus tôt. Ceux sur qui je me suis ouvert auprès d’Angélique sur mes soupçons. Des dieux ? Leurs serviteurs ? Je n’ai pas le temps d’élucider ça. Ce n’est plus la priorité. Pas maintenant que les flammes se rapprochent. Les couloirs par lesquels nous sommes venus sont en train de s’effondrer, le faux plafond de PVC à moitié crâmé et fondu qui s’éclate au sol en dispersant des cendres enflammées en tous sens.

J’entends un cri en bas de l’escalier.

Un cri ?

Je croyais qu’il n’y avait que nous.

Les autres sont tous repartis. Je regarde vers le couloir où ils sont tous partis. Le cri se fait entendre à nouveau. Le bruit des flammes qui crépite dévore tout. J’hésite, je grimace. Je pense à Donovan. Je pense à Cara. Je pense à tous les autres. Et je me dis que je ne pourrais plus jamais me regarder en face si je ne vais pas voir, et si j’apprends par la suite que quelqu’un est mort sans que je ne cherche à l’aider. Ne serait-ce pas la plus ignoble des trahisons que je pourrais commettre envers mon ordre, et la somme de toutes mes convictions ? Je retourne dans la cage d’escalier métallique, et commence à le dévaler. La chaleur est si forte ici qu’elle me pique les yeux. Je tousse, avant-bras passé devant mes yeux. Ma main qui suit la rampe pour me guider dans l’obscurité grandissante de la fumée noire, épaisse, finit par grésiller sur le métal chauffé à blanc et je lâche un hurlement de douleur et de surprise.

La structure grince. Encore des hurlements.

En bas, les flammes qui montent. La structure qui grince. J’hésite, et je descends voir.

Il n’y a qu’un moment de flottement d’abord, une à deux secondes, au bout desquelles je prends conscience que les énormes tiges d’acier maintenant l’escalier ont cédé sous la chaleur qui fait craquer le béton et déforme le métal. La structure grince à mourir, et tangue. Mes yeux s’écarquillent, leur irritation aux larmes inonde mon visage. Et mon cœur se fige. Orphée.

Et puis, l’escalier s’effondre. Deux secondes de chute. Pas le temps de crier. Et tout est terminé, escaliers et corps avalés par les flammes.

(c) DΛNDELION

Récap des actions : Alexandre fait ses bêtises habituelles et il se met au barbecue.
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Points de vie : 0/10

- PUTAIN !

Je ne peux plus contenir cette rage ! Comment est-ce que nous pouvons quitter ce maudit complexe en feu ? Il semble qu’il ne répond à aucune logique d’orientation, de Foi ou d’architecture ! Les dernières portes que j’ai poussées n’ont été que des culs-de-sac ou des déceptions considérables ! Et cette malchance continue, lorsque je débouche sur un couloir qui mène à une nouvelle porte marquée « VIP ».

J’ai un terrible sentiment vis-à-vis de cette nouvelle étape. Est-ce que je dois m’attendre à voir l’Unique, ses angelots ou ses démons, derrière cette porte ? Est-ce que j’aurais à supporter leur litanie sur la suprématie de leur Foi sur nous tous, les Anciens Dieux ? Est-ce que j’allais être à nouveau valsé contre un mur, ou être défenestré ?

Si toutes ces idées ne me font ni chaud, ni froid vis-à-vis de ma propre survie – au mieux, je garde l’enveloppe et au pire, je me réincarne ailleurs –, elles m’inquiètent pour Juliette. Je secoue cette dernière, pour lui arracher une quelconque réaction. La tentative est un pur échec. Pire, voilà que ses bras tombent mollement le long de son corps. Quelque chose cloche.

Malheureusement, je ne peux pas me risquer à perdre de précieuses minutes pour vérifier si elle respire toujours ou non. Si jamais ce n’est pas le cas, ce n’est pas dans un couloir enfumé que je risque de la réanimer. Je dois retrouver le grand air, au plus vite et à tout prix ! Un observateur contemporain peut penser que je suis un bâtard, sans sentiment. S’il y a du vrai dans cette dernière affirmation, je ne suis pas un type morbide qui aime se balader avec une morte sur le dos, ou qui est trop lâche pour tenter de sauver une demoiselle. C’est le pragmatisme du guerrier qui parle, celui qui sait qu’il n’y a rien à tirer d’une situation désespérée …

- Advienne que pourra …

Et j’enfonce cette porte, d’un coup de pied, et y entre le pas sûr.

Récap des actions : Même si j'ai pas posté au tour précédent, je me permets de dire qu'il est devant la porte VIP . Au passage, j'ai décidé que son épouse, Juliette, crèvera dans cet event (à voir si c'est pertinent comme info pour votre MAJ), par empoisonnement à la fumée & gaz + avoir été à moitié piétiné par des gens en panique au tout début du rp o/ !
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Bonus possédés :

- Coup monté : vous conjuguez votre pouvoir avec celui d'un allié. Si la réussite est automatique, lancez trois dés quand même. Si le cumul des trois dés dépasse 200, la puissance de vos deux pouvoirs cumulés est doublée.

- Coup de fil : du renfort débarque pour vous aider. Tirez un dé. Entre 1 et 50, un pnj humain vous aide. Entre 51 et 90, c'est une créature qui débarque. Entre 90 et 100, c'est un divin qui vous file un coup de main.

- Coup sur la tête : Vous devenez impétueux (à justifier en rp). Les dégâts d'attaque que vous infligez sont doublés pendant deux réponses. Attention, pendant 2 tours, vous attaquerez obligatoirement, sans autre action.

- Deux relances achetées

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Points de vie : 10/12

Je dévalai les marches quatre par quatre, me tenant de temps à autre à la rambarde quand mon pied loupait une marche. Je ne me souciai pas bien, alors, de qui m’avait suivie et de qui m’avait précédée dans l’escalier ; Au fond de moi, il n’y avait alors plus que l’empressement de trouver la sortie de ce tombeau infernal, quoique j’espérais sincèrement que Nate tiendrait parole et serait sur mes pas. De temps à autre, je me retournai pour voir s’il me suivait mais l’opacité de la fumée ne permettait pas de discerner quoique ce soit. Elle brûlait, laissant des larmes sèches tracer des sillons sur mes jours maculées de sueur et de cendres. Alors, en tout état de cause, je continuai d’avancer.

Je continuai d’autant plus que j’avais le sentiment viscéral de toucher au but et, à moins d’un jeu cruel du destin, que le dénouement de toute cette histoire était proche. Et quel serait-il, ce dénouement, me demandai-je alors ? Nous en sortirions-nous entiers ? Je l’ignorais, pour être honnête. Je ne pouvais qu’espérer. Tout ce que je savais, c’est qu’une fois atteint le bas des escaliers, je me retrouvai face à une nouvelle porte, une énième porte qui m’arracha un geignement enragé. Le désespoir me saisit, l’espace d’un instant... Puis j’entendis les sirènes et les secours, de l’autre côté du battant, et mon cœur loupa un battement. Nous étions si proches.

Je voulus leur crier que nous étions juste là, enfermés de l’autre côté de la porte « VIP ». Je n’en eus pas l’occasion ; L’homme qui nous avait accompagné jusque-là – celui qui portait sa femme à bras-le-corps – venait d’essayer d’enfoncer la porte d’un grand coup de pied. À bout de forces et incapable de faire quoique ce soit d’autre que de l’observer passivement, j’espérais qu’il parvienne à en faire sauter le verrou. Et si son entreprise ne fonctionnait pas – nous étions tous à bout de forces – j’espérais que quelqu’un, de l’autre côté, nous entende et nous sorte de là. Le rideau opaque de la fumée laissait sous-entendre que faire demi-tour ne serait probablement pas une option. Avec un regard angoissé derrière moi, j’essayais toujours de discerner Nate quand des pas résonnèrent derrière moi.

Récap des actions : Anthea atteint finalement la porte VIP et attend de voir si Louis arrive à l'enfoncer ou s'il faut attendre après les secours. Elle guette aussi l'arrivée d'Arthur mais ne parvient pas à discerner quoique ce soit.
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Points de vie : 8/12

HRP : Je suis pas sûre d'être encore dans les temps pour poster ! Si ce n'est pas le cas, ne tenez pas compte de ma réponse Mission intrigue 3.1 : Transmettre la culture est le plus vieux métier du monde. - Page 2 3363472704

Transmettre la culture est le plus vieux métier du monde.

des gens

Je ne sais pas trop ce qui m'a poussé à rester en arrière, mais personne ne semble revenir, pas les deux demoiselles, ni le jeune homme qui était parti à leur recherche. La fumée se faisait de plus en plus épaisse, mais je souriais légèrement. Bien jouer le Vieux, si tu voulais tester la foi de tes fidèles, c'est réussi, sauf qu'on est plus de divinités présentes ce soir que de brebis égarées du troupeau dont tu es le berger. Je ricane légèrement, avant de tousser à cause de la fumée. Rien à foutre, moi je me barre et je commence à emprunter l'escalier, mais je ne vois rien, je n'entends rien, mais j'ai pourtant la certitude que la sortie est toute proche. Continuant de dévaler les marches le plus rapidement possible, en prenant quand même soin de ne pas tomber et me rompre le cou, je finis par rattraper Anthea et l'autre divinité. Un coup d'oeil à la femme qu'il portait sur son dos m'indiquait qu'il était vraisemblablement trop tard pour elle, mais il ne semblait pas y prêter une quelconque attention pour l'instant, trop occupé à enfoncer la porte. Ce qui nous permit d'avancer encore un peu et d'avoir une bouffée d'air frais, sans pour autant que ce ne soit la sortie. J'en avais marre de ce jeu de piste sans fin et intérieurement, je demande à Dieu d'arrêter de faire l'imbécile et de nous faire sortir de là. Dans des termes plus respectueux, parce que même si je suis loyal envers Lucifer, c'est bien sous ses ordres à Lui que je suis. Et il me l'avait bien fait comprendre avant qu'il ne décide de me renvoyer parmi les humains. Je commençais à entendre des sirènes, signe que la sortie n'était plus très loin. " J'entends quelque chose, on est plus très loin, continuons !" Il n'y avait qu'une porte en face de nous et je la pousse et plus que jamais, j'entends les sirènes des pompiers. On avait visiblement trouvé la sortie. Ce qui était une bonne chose. Je laisse ce brasier derrière moi sans le moindre remords.

copyright Bloody Storm

Récap des actions : Arthur rejoint Anthea et Louis devant la porte VIP et ils sont presque tirés d'affaire. Et c'est tout pour moi !
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