Divin Esus •• Au choix •• Frère •• Hugh Jackman (Négociable)

•• Apparition du Panthéon Celte •• Esus est un dieu puissant, le frère de Teutatès et Taranis, Dieu Protecteur de la Tribu et Dieu du Ciel et du Tonnerre. Lui-même Dieu de la Guerre, de la Construction et du Commerce, il fait partie de la fratrie la plus puissante du panthéon Gaulois. Il mène les armées celtes avec ses frères, et les aide pour la conquête de vastes espaces en Gaule, en Hispanie, dans les Iles Britanniques et jusqu'en Asie Mineure, en accompagnant les Galates. Esus est alors souvent chargé des négociations avec les vaincus ; c’est lui qui humilie les Olympiens après le sac de Rome, ou qui négocie la colonisation celte du coeur l’actuelle Turquie suite aux succès Galates.
•• Apogée du Panthéon Celte •• Esus laisse la gestion et la protection de la tribu à son frère Teutatès, et part avec Taranis au combat. Les guerres sont en effet légion, et le Dieu de la Guerre bâtit dans le dur la civilisation qui l’a vu naître, en établissant des colonies, en gérant au mieux les ressources proches des bassins de population pour la construction d’oppidums, d’habitations, ou pour le négoce avec les peuples alentours. Esus consacre sa hache aussi bien à la destruction qu’à la construction ; il souffle le feu et le froid sur les grandes migrations celtiques dans toute l’Europe de l’Ouest et du Centre. Il se distingue aussi par l’invention des premières machines agricoles, comme la célèbre moissonneuse gauloise… L’idée lui est venue en fendant de sa hache les têtes macédoniennes lors de la bataille de Lysimachae, jadis ; il fauchait l’ennemi comme les blés !
•• Déclin du Panthéon Celte •• Comme Taranis, Esus nourrit une colère terrible contre Teutatès, disparu au moment crucial des invasions germaines et romaines. Se battant comme un forcené, il lutte pied à pied contre les dieux nordiques autour du Rhin, puis contre les romains. Quand il comprend que la lutte ne mène nulle part sinon au massacre et à l’esclavage de leurs fidèles, Esus est partisan avec d’autres de faire la paix avec leurs ennemis. Il pense que le commerce est un bon moyen de rétablir les échanges et de continuer de prospérer, voire d’assurer une correcte représentation de tous les cultes dans la nouvelle construction des Olympiens ; l’Empire Romain. Il se brouille ainsi avec ses deux frères, et leur dispute quant aux suites à donner à la lutte contre les envahisseurs les laisse tous marqués par les mots et les coups échangés.
•• Depuis •• Esus n’a jamais ressenti le besoin de se réunir avec ses frères ou ses cousins de jadis. Ils ont pris leur décision il y a bien longtemps et ne compte pas revenir dessus. Bien sûr, il a continué lui, de prospérer. Son inventivité et sa débrouillardise l’ont laissé capable de s’adapter aux époques. Ressentant parfois l’appel d’un combat quand il est juste, il s’est parfois impliqué auprès des hommes dans leurs guerres, mais rien ne le contente plus que le travail du bois, sa passion de toujours, et l’invention de mécanismes. Il vit plutôt en solitaire, et prône plus que jamais la rigueur et le plaisir du travail bien fait.